Une nouvelle atlantide

Pour une révolution partenariale////à suivre

 

 

 

 

 

 

 

« Réflexion »

 

 

 

Pour

une révolution fondée sur un véritable

Humanisme Partenarial

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

« Il est dégradant de parler aux hommes en langue vulgaire et d’entrer dans la vie politique avec un répertoire d’une demi-douzaine de phrases. »

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

A l’aube des temps la vie serait née sur les hauts plateau d’Afrique.

 

Un être vivant se serait mis debout, sur deux jambes. Il voulait mieux regarder le ciel et, sans doute, l’interroger pour comprendre le sens de sa vie.

 

Millénaires après millénaires, des générations de chasseurs, d’agriculteurs, d’éleveurs, de pêcheurs se sont transmis les règles et les lois d’un savoir non écrit, précaire mais immuable. Il assurait leur survie.

 

Sous des climats rigoureux et difficiles, dans un environnement souvent dangereux, à travers les siècles les habitants de ces contrées mystérieuses et attirantes ont établi les bases de ce qui nous offre, peut être, l’opportunité d’écrire une page nouvelle et importante de l’Histoire de notre humanité.

 

Les membres de PLANETE XXI INTERNATIONALE, OPERATION SOLIDARITE NIGER, Le CLUB DES AVENTURIERS DE L’UTILE, le CLUB DES CENTS, à l’origine de ces lignes, sont nés de la rencontre de femmes et d’hommes de races, de couleurs, de cultures, de langues, de religions différentes.

 

Il y a un peu plus d’un quart de siècle, porteurs d’histoires et de vies différentes, sur les rives du fleuve NIGER, au SAHEL, ils ont su se découvrir. Ils se sont s’appréciés. Ils se sont respectés. Ils ont partagés, ensemble, des moments privilégiés.

 

Ils ont su se dire l’espoir d’un monde meilleur, celui d’une nature sauvage enfin domptée et apprivoisée, devenue havre de paix pour des êtres humains inquiets de leur devenir.

 

Ensemble, ils ont travaillé la terre. Ils ont fait surgir un premier campement agricole, auprès du village de TOURELA, au MALI. Ils ont produit du mil, du sorgho, des haricots niébés. Ils ont préparé, avec l’aide de structures comme la fondation Daniel Balavoine, les périmètres irrigués de BADJI HAOUSSA, BADJI N’GOURMA, TASSIGA, MONZONGA….Ils voulaient fournir le riz de l’autosuffisance alimentaire des Songhaïs, des Bambaras, des Peuhls, des Bozzos des bords du fleuve roi.

 

Ces hommes et ces femmes voulaient qu’au cours des années les habitants de ces régions finissent par se réunir autour de puits nés grâce à l’apport de technologies modernes. Ils les voulaient creusés en permettant de ne plus mettre en péril la vie de ceux qui, par cinquante cinq degrés à l’ombre, descendaient à trente mètres sous terre, avec corde et une pelle en bois, la daba, en quête du rêve quotidien, l’EAU.

 

A partir du fleuve majestueux qui coulait à travers le désert ceux qui s’étaient rencontrés et avaient fondé les bases d’une amitié nouvelle.

 

Au début, ceux qui étaient venus du NORD avaient été invités au voyage par Thierry SABINE, le fondateur d’un moderne jeu de cirque : Le rallye PARIS DAKAR. Il avait étendu son théâtre d’action au parcours du Fleuve NIGER. Il y avait entraîné dans son cirque des équipes d’aventuriers et de sportifs de tout crin.

 

L’une de ces équipes, composée de bretons et de vendéens, en mal d’une aventure moderne, regroupés au sein d’une association baptisée MENHIR AVENTURE avait ajouté un plus à son engagement sportif et médiatique. Ses responsables avait été incités à rencontrer un missionnaire, un père blanc en retraite par Henri PERRON, le rédacteur en chef d’un journal nantais Presse Océan.

 

Sur les bords d’un des affluents du Niger, Le BANI, après une brève mais chaleureuse rencontre sur les quais du port de MOPTI, ils avaient rendu visite père Bernard VERSPIEREN.

 

Revenu à sa première discipline l’agronomie, sur les rives du fleuve, il  les avait invité dans son campement agricole de TERYA BUGU.

 

Sur les rives à l’instar de l’exemple de cet ancien missionnaire l’un d’entre eux avait caressé un premier rêve, jumeler le NIGER et ses affluents ave le fleuve de son enfance, la Loire, multiplier l’exemplarité de l’action qu’il avait découverte et créer des POLES DE VIE et de DEVELOPPEMENT.

 

Il voulaient associer les hommes pour reconquérir les terres brûlées par un soleil implacable.

 

Les événements, la propre histoire de sa famille, le résultat positif d’une première mission financée par le Conseil Général de Loire Atlantique, la rencontre avec un médecin africain, le Docteur Yeya Issa MAIGA en formation au C.H.U. de Nantes lui avait donné la possibilité d’avancer.

 

Un binôme africain et européen, malien et français été né. Très vite il s’était étoffé d’hommes et de femmes du SUD et du NORD.

 

Ensemble, pour réussir ils avaient caressé l’idée d’utiliser un matériel végétal précis, une plante venue du désert du Nouveau Mexique, la JOJOBA.

 

C’était la promesse d’une vie nouvelle parfaitement adaptée au désert, la possibilité de ressusciter une végétation de surface bi séculaire une fois implantée, l’opportunité de la production d’une huile miraculeuse susceptible de générer un flux commercial entre l’Afrique et les autres continents et de répondre aux besoins de technologies modernes en pleine évolution.

 

Ce premier rêve est resté en devenir avec beaucoup d’autres projets. Mais l’Histoire fut féconde.

 

Le riz a poussé. Les haricots niébés sont apparus. Des hommes comme les premiers ministres Raymond BARRE et Pierre BEROGOVOY qui avaient apporté leur écho au départ de l’action pour soutenir un rêve, en ont reçu leur part.

 

Des entreprises du NORD se sont associés à l’action des hommes du SUD.

 

Des rêves encore plus fous sont apparus et ont réuni ceux qui au SUD et au NORD croyaient que leurs actions pouvaient changer les choses.

 

Ensemble, en 1989, d’une façon symbolique, dans la coopérative des jeunes diplômes sans emplois de la commune VI de BAMAKO et à TOURELA ils ont planté l’ARBRE DE L’ESPOIR.

Ils ont prouvé une chose.

 

Il existe parfois au cœur des hommes une étincelle d’humanité et de vie qui rend parfois le Monde merveilleux.

 

Aujourd’hui à Cotonou, à Ouagadougou, à Bamako, à Lomé, à Dakar, à Paris, sur les bords des espaces méditerranéens et atlantiques, sur les rives des grands fleuves d’Afrique, d’Europe et des Amérique ils disent simplement qu’il ne dépend que de la volonté des êtres humains de ce début de III° millénaire que cette étincelle d’humanité grandisse et devienne réellement source de vie.

 

 

= = =

 

 

Il est devenu commun de parler de crise de civilisation pour définir l’ampleur des mouvements qui agitent le monde moderne.

 

C’est l’argument très souvent utilisé comme alibi, sans autres explications, par ceux qui prétendent nous gouverner et qui nous promettent toujours des lendemains qui chantent.

 

Il leur sert à masque leur manque de lucidité et d’imagination.

 

Cette crise pour réelle qu’elle soit est, en fait, le signe de la vitalité profonde de la civilisation de ce début de III° millénaire.

 

C’est sans doute l’expression apparemment incohérente des multiples tentatives pour corriger les erreurs du passé et pour tracer la voie royale d’un avenir de lumière et de progrès pour l’ensemble de l’Humanité.

 

N’en déplaise aux esprits chagrins, l’humanité est bien vivante. Ses ressources sont étonnantes.

 

Rongée par les cancers nés des erreurs des débuts de notre évolution technologique et par les mythes créés par les délires des hommes, elle aurait dû disparaître depuis longtemps.

 

Les catastrophes de toutes sortes, les guerres, le terrorisme devraient l’avoir détruite.

 

Au contraire, aujourd’hui, à l’instar de tout organisme vivant, elle secrète ses propres anti-corps. Malgré leurs excès, ils finissent par corriger les méfaits d’une technique sans âme et par réduire les aspects néfastes de nos folies. Les écologistes et leurs actions en sont le meilleur exemple.

 

Certes les hommes de notre temps perdent pied. Sous l’effet de l’agression des systèmes réducteurs aux seules notions de consommation et de production, ils renoncent, au fil des jours, à leur qualité d’êtres humains, à la part d’efforts nécessaires à l’acquisition d’un  niveau supérieur de conscience, véritable base d’une démarche civilisatrice positive.

 

Ils abandonnent leur sort à des instances qui se disent omniscientes.

 

A l’aube du XXI° siècle, ils gardent toujours les réflexes du passé. Ils se tournent vers les grands prêtres de liturgies politiques du passé.

 

Ils font encore confiance à  ceux-là même qui furent incapables de tirer du fond des âges et de l’expérience des générations précédentes une morale à la dimension des temps modernes..

 

Ils confient leur futur à ces sectateurs de systèmes et de philosophies qui appartiennent déjà à l’Histoire d’Hier. Ils font encore confiance, élections après élections, à ceux qui augmentent par leur conservatisme sclérosant, leur égoïsme et leur ignorance l’inquiétude des foules qui les interrogent pour donner un sens à leur vie et à leurs luttes pour maîtriser leur destin.

 

Alors naît le désespoir et l’expression de colère d’une jeunesse qui, n’ayant pas pris le temps d’étudier les raisons de l’ambiguïté fondamentale du Monde l’impute à un absurde qu’elle rêve d’effacer pour trouver l’explication du combat des hommes et l’espoir dans l’existence et le devenir des nations.

 

Au NORD comme au SUD, à L’EST comme à l’OUEST cette jeunesse exprime la « désespérance » de générations sacrifiées.

 

Elle est la première victime des incohérences évidentes de systèmes politiques qui ont atteint leurs limites.

 

Ces systèmes, enfermés dans le schéma réducteur des seules règles de consommation et de production, ont oublié l’essentiel, la réalité, les différences, les rêves, les attentes, les besoins fondamentaux des hommes et des femmes qu’ils prétendent diriger.

 

Ils les ont remplacé par des colonnes de chiffres et des statistiques, sans âmes, sombres litanies d’une conjoncture chaotique, difficilement maîtrisée par un carcan administratif sclérosé, trop souvent inspiré par des politiciens prédateurs ayant oublié l’essence même de leur fonction : « SERVIR et non pas SE SERVIR ».

 

Est il déjà trop tard ?

 

Sonne t’on le glas d’une civilisation qui, disposant sur elle même d’une somme de connaissance sans précédents connus dans l’Histoire des Hommes, estime qu’elle doit disparaître.

 

Le chômage, l’exclusion des jeunes, les guerres, les famines, le sous développement, les maladies….sont ils les signes avant coureur de la fin justifiée d’un Monde sans futur ?

 

Il existe dans ces réalités une part de vérité importante.

 

Elle fonde sans doute la violence de ceux qui partent à l’assaut des symboles de sociétés où ils ne trouvent plus rien à craindre ou à respecter. Elle est sans doute à l’origine inconsciente des gestes de colère de ceux qui incendie le symbole fondamental des sociétés modernes : « La voiture », au terme de nuits folles et de mouvements de violences et de révoltes sans espoir.

 

Elle occulte encore la voie d’actions nouvelles, porteuses de l’idéal d’un humanisme moderne tracé à la dimension des défis d’un Monde qui reste encore à construire.

 

La vie renaît sans cesse de ce qui détruit la vie !

 

Les hommes et les femmes, venus du SUD et du NORD, d’Afrique et d’Europe, des ensembles des nations qui bordent les rives des ensembles méditerranéens, atlantiques, indiens ou pacifiques et de leurs fleuves versants, venus de tous les horizons, sans distinction de race, de langues, de culture ou de religion qui ont tenté de prêter une forme simple et précise aux idées contenues dans ces quelques feuillets, partagent un ardent désir.

 

Avec la fraction des jeunesses du Monde la plus large possible, ils veulent nourrir le désir d’une véritable rénovation.

 

Mais parce que cette espérance est leur raison de vivre, ils refusent de la verser dans les vieilles chiourmes dont les charabias sur le renouveau et le changement sont trop souvent l’alibi.

 

Les générations passés nous offrent le champ de leur expérience, l’originalité de leur parcours dans le grand concert de l’aventure humaine, la nature des réponses apportées aux problèmes posés au fil des siècles par l’évolution de nos sociétés, en un mot le bilan d’une Histoire parcourue en bien et en mal par l’ensemble de l’Humanité.

 

Acceptant la richesse inestimable de cet héritage du passé et étudiant les réalités d’un présent parfois difficile et incohérent, ceux qui sont à l’origine de ces pages estiment que, quels que furent à travers les âges les systèmes issus des idées  politiques ou de la volonté de ceux qui voulurent modeler l’Histoire, leurs erreurs, leurs perversions et parfois leurs bienfaits, il s’agit là, avant toute chose, de l’expression des diverses potentialités d’une humanité en marche vers une connaissance de plus en plus exigeante de ses réalités, de son essence, de ses capacités à un véritable progrès, de l’accomplissement de sa destinée, « en somme de sa quête ardente entre le bien et le mal ».

 

Il leur est apparu évident qu’il existe des valeurs, des actions, des choix qui sont l’explication de l’évolution et de la chute de toute société.

 

Héritiers de cultures de civilisations différentes dans l’expression multiforme du génie de l’espèce humaine, trop souvent mis en accusation, ils savent que chacune de ses expressions à déchiffré par le passé les voies de l’Histoire du Monde d’une manière unique conforme à ses spécificités.

 

Ils disent que cette démarche a contribué à la richesse de l’espèce. Ils disent aussi que l’avenir sera nécessairement écrit avec le concours de tous.

 

Ils ont donc voulu serrer dans ces quelques chapitres des idées qui leur paraissaient fondamentales pour dessiner « l’étroite porte » par laquelle il doit être possible d’échapper à la fois aux contraintes dégradantes de l’argent roi et à celles de sociétés concentrationnaires, établies sur le poids des armes et de la terreur, dont les séides ont trop souvent foulé et ensanglanté les pavés des vielles nations du NORD et détruit les pistes les de l’espoir des jeunes nations d’un  SUD en attente du retour du fil de son Histoire.

 

Ces idées ne seront qu’un schéma.

 

Elles se veulent une trame sur laquelle l’intelligence et l’imagination des hommes pourront broder à l’infini leurs fils entrecroisés.

 

Ces femmes et ces homme veulent se borner à cette expression élémentaire,  parce que les confusions nées de la manipulation des esprits exigent parfois un retour à l’austérité dépouillée d’un noyau d’idées.

 

Et aussi, parce que pour ne pas se perdre dans l’infinie complexion de la pensée humaine, il faut consentir, de temps en temps, aux heures de crise, à revenir aux quelques jalons qui balisent le Fond Commun de la Sagesse des Hommes.

 

Ceux qui refusent aujourd’hui l’effort de choix nouveaux, l’abandon d’avantages et de privilèges confortables et égoïstes en opposition avec les réalités cruelles et le difficile évolution du Monde moderne préparent les révoltes et le chaos de demain.

 

La révolte des jeunesse du Monde est un message d’espoir.

 

C’est le refus d’une fatalité et de choix arbitraires. C’est le signe évident de l’émergence d’une volonté de prendre en main la réalisation d’un destin encore incertain.

 

L’ignorer c’est pêcher contre l’intelligence.

 

Agir pour lui donner un sens, un champ d’expression positif, c’est lui offrir le temps de la réflexion et un Monde à bâtir. C’est créer le rêve indispensable à la dimension des exigences de l’idéal de ceux qui ont vingt ans.

 

Ebaucher l’étape d’une telle action et l’offrir aux jeunesses du Monde pour qu’elles s’y associent c’est la base même de notre propos.

 

Agissant depuis plus d’un quart de siècle entre le SUD et le NORD, les auteurs de ces lignes ont pris la mesure de l’immensité des tâches à accomplir pour tenter d’apporter des réponses positives aux crises nées des mutations des sociétés de ce début de XXI° siècle et aux catastrophes naturelles qui, trop souvent, trouvent leurs sources dans les actions néfastes des hommes.

 

Réfléchir et agir pour répondre aux impératifs de ce constat, proposer la mise en œuvre des principes et des gestes concrets d’UN VERITABLE HUMANISME PARTENARIAL entre le SUD et le NORD, entre l’EST et l’OUEST, générateur d’activités, de créations d’entreprises fondées sur les besoins d’échanges et de nécessaires solidarités de notre humanité, en échappant à tout concept d’assistanat permanent, C’est là sans doute le grand chantier de l’aube du III° millénaire.

 

Il offre aux générations nouvelles l’opportunité de trouver les réponses fondamentales qui justifient leur propre parcours dans l’existence et donnent un sens véritable à leur vie. Aucune nation, aucun responsable politique ou décideur économique ne peut prétendre échapper aux exigences d’un tel cadre d’action. Eveiller leur conscience est sans doute l’audace et l’espérance de l’équipe africaine et européenne qui commet ces lignes et espère apporter un grain de sable  qui enrichisse l’Histoire de son originalité.

 

= = =

 

REVOLUTION

 

 

Dans le cadre des décombres des sociétés modernes, matérialistes capitalistes ou marxistes, on aperçoit mal ce qui mérite d’être conservé.

 

Nous dédaignons les précautions de vocabulaire. Le gigantisme des tâches exige le radicalisme des intentions. Nous sommes révolutionnaires.

 

Détruire ce qui n’est pas digne de survivre et empêche l’avènement d’une nouvelle espérance, transformer ce qui peut et doit l’être, c’est une révolution.

 

Vien toujours un temps, au bout de lents et longs enlisements, où l’effort de résurrection ne peut être que violent.

 

Cet effort s’appelle révolution !

 

La révolution, c’est une tentative pour échapper à l’embourbement dans une vie sans grâce et sans espérance. C’est l’instant de l’imagination. C’est bâtir une vie conçue comme une ascension vers une étoile.

 

La révolution n’est pas nécessairement l’avènement du désordre. Elle est un sacrifice. Elle tend à remplacer un désordre ou un ordre, âgés, pessimistes, moroses, égoïstes, souvent désespérés,  par un ordre vivant, optimiste, enthousiaste.

 

La révolution c’est une recherche ardente d’un principe novateur et d’une volonté de l’appliquer.

 

Au reste la révolution échappe aux définitions. Elle déborde toute idée que l’on peut se faire d’elle. Elle transcende tout plan que l’on peut en tracer.

 

Elle est brusque irruption dans un monde inconnu. C’est par là qu’elle ouvre la porte à l’espoir.

Elle est grosse de toutes les espérances accumulées.

 

Elle est un changement de direction par quoi les hommes se détournent des mythes sclérosants et cherchent  ardemment leur progrès dans une autre voie.

 

La révolution c’est d’abord une prospection des ferveurs neuves.

 

On commet communément deux erreurs sur la révolution. La première, aujourd’hui, consiste à croire qu’elle est une exclusivité marxiste dans ses multiples tendances : moscovite, chinoise, trotskiste ou castriste. La seconde consiste à imaginer qu’elle est explosion populaire spontanée.

 

En fait, les innombrables révolutions qui ont secoué l’Histoire on toujours été, d’abord, des complots noués par une élite autour d’idées nées dans des cercles d’intellectuels ou d’hommes s’interrogeant sur leur condition. Il n’est pas de révolution qui ne commence dans des méditations des philosophes et dont l’idée ne mûrisse dans des livres de ce l’on appelle dédaigneusement  « le peuple » ne lit pas.

 

D’ailleurs, la référence au peuple fut ensuite l’alibi pour un marxisme qui se voulait libérateur.

Il est presque risible d’imagine que la révolution est nécessairement marxiste. Il est banal de noter qu’avant MARX, le français Victor CONSIDERANT avait posé le principe que «LA REVOLUTION EST LA FORCE MOTRICE DE L’HISTOIRE ».

 

Le retour au seul sens étymologique du terme suffit à faire justice que révolution et marxisme sont inséparables.

 

Si la révolution est un changement radical ont ne voit pas pourquoi le mot ne s’appliquerait pas également à un refus des mythes matérialistes marxistes ou capitalistes qui règnent en maîtres dans notre monde moderne. On voit encore moins pourquoi il ne pourrait pas s’appliquer à une recherche d’une philosophie politique différente.

 

Cette idée s’enchaîne à une autre évidence. Le Marxisme ou plus exactement les matérialismes marxistes et capitalistes qui ont dominé le XX° siècle sont devenus des vieilleries fondées sur des théories que le temps et les faits n’ont pas respectées.

Ils jouissent encore d’une faveur complice d’une partie de l’Université, des Eglises, de l’Administration, de la Magistrature et de ce que l’on appelle d’une façon un peut optimiste « L’Intelligentsia » et d’une façon plus étendue aujourd’hui « Les People ».

 

Jamais la vieille expression «  Le sabre et le goupillon » ne semble mieux s’être appliquée qu’à l’ensemble des forces qui soutiennent aujourd’hui les matérialismes marxistes et capitalistes.

 

Ces forces appartiennent aujourd’hui « Aux bien pensant ».

 

La révolution brûle dans d’autres cerveaux !

 

Ceux qui rêvent de remplacer le carcan conservateur des matérialismes marxistes et capitalistes par une philosophie politique novatrice, audacieuse et pleine d’espérances de l’avenir ne peuvent qu’emprunter des voies différentes des échecs passés de ces systèmes de pensée.

 

Il en est de la révolution comme de toutes choses. Ceux qui la souhaitent ne doivent pas l’attendre d’un hypothétique mouvement collectif. La révolution n’est pas un cadeau que l’on doit recevoir. Elle ne peut naître que de la détermination et de l’audace d’un nombre d’hommes toujours plus grand.

ELLE COMMENCE PAR LA CONSCIENCE DE CHACUN.

Faire la révolution c’est d’abord accomplir la sienne propre à partir d’une profonde méditation politique remettant en cause les mythes maléfiques.

 

On trouve ici un dogme fondamental pour l’action : « Si tu veux préparer l’Avenir, défriche le Présent » !

 

CRISE ECONOMIQUE, UNE AUTRE VOIE ?

 

 

 

A l’aube des temps les communautés humaines ont entamé une lente évolution. Le but vers lequel elles tendaient pour accomplir leur destinée reste encore à déterminer. Au commencement, il ne leur fallait que vivre et finalement mourir dans un environnement plein de mystères. Il leur paraissait souvent hostile. A l’origine elles tentaient d’y trouver une explication de leur espace de vie, de leur origine, de leur nature profonde et de leur destinée. Leurs interrogations éveillaient un écho dans leur esprit et l’ébauche d’une quête vers l’acquisition d’une dimension spirituelle.

 

Souvent éloignées par de vastes espaces, leurs contacts et parfois leurs affrontements avaient des motifs simples. Il leur fallait s’emparer de vivres, du feu, de femmes ou de captifs à des fins diverses. Et, pour les plus pacifiques, il s’agissait seulement d’échanger quelques bien dans le cadre d’un mécanisme simple, de gré à gré : LE TROC.

 

Au cours des siècles les parcours de ces communautés, la volonté de puissance de certaines d’entre elles, ont entraîné des rapports de plus en plus complexes. Ils ont modifié profondément les termes et les méthodes des échanges entre les peuples.

 

Cette lente marche vers l’accomplissement d’UNE HISTOIRE GLOBALE a vu apparaître des espaces, revendiqués tour à tour par des communautés différentes au titre du droit du sol ou d’appétits prédateurs. Elle a vu émerger de nouvelles règles, de nouveaux codes de rapports entre les hommes. Ces systèmes de fonctionnement ont été soumis régulièrement à des modifications. Elles ont été rarement pacifiques en fonction de la nature humaine, de leurs propres limites, de leurs contradictions internes et trop souvent d’intérêts égoïstes et limités.

 

La crise économique récurrente qui secoue durablement l’ensemble des places financières des nations privilégiées de notre planète suscite les commentaires avertis de nombreux experts. Quel que soit le degré de leur science, face à ce véritable tremblement de terre, ces experts semblent démunis face à la folie qui paraît s’être emparée de la spirale de développement des logiques d’argent.

 

En fait il s’agit sans doute de l’étape de transition difficile de systèmes de société qui ont fait leur temps dans le cadre d’une mondialisation, désormais évidente aux yeux de tous.

 

C’est une notion qui modifie profondément la perception que l’on peut avoir des communautés humaines de ce début de XXI° siècle et de la nature même de leurs activités.

 

Face aux réalités, aux besoins et aux attentes de l’humanité de notre monde de l’aube du III° millénaire, elle implique une réflexion globale pour la redéfinition d’une morale planétaire et la volonté politique de prendre des décisions fondamentales pour la survie et l’avenir des sociétés modernes, pour leurs activités d’échange et leurs mécanismes de communication.

 

Sans cette attitude, il serait vain d’espérer un futur de progrès quelles que soient  les méthodes choisies pour faire face à cette crise.

 

Au cours des siècles des philosophes, des penseurs, des experts, des savants se sont penchés sur l’évolution des sociétés. Le XX° siècle n’a pas échappé à cette règle. Avec plus ou moins de talent, ils ont analysés les fondements et les raisons d’une attente d’un monde meilleur.

 

Ils ont défini et souvent établi des systèmes de sociétés fondés sur des conceptions d’idéaux qui devaient immanquablement assurer le bonheur des hommes.

 

Le début de ce XXI° siècle nous offre la vision globale d’un monde en plein effervescence en prise à d’infinies contradictions. Les hommes qui y vivent n’ont jamais disposé d’autant de connaissances sur leur Histoire passée et de moyens matériels et techniques pour construire leur futur…Malgré cela, ils semblent impuissants.

 

Ils paraissent incapables d’agir pour répondre à l’une des exigences fondamentales de l’espèce humaine :

 

« Favoriser l’accomplissement harmonieux de ses potentialités, de sa destinée et l’accès à un niveau supérieur de civilisation. »

 

Souvent, par le passé, les hommes ont pallié à leurs incapacités dans ce domaine par ce qu’ils appelaient « Une bonne Guerre » !

 

Les désastres et les atrocités qui accompagnaient ce choix créaient, l’espace d’un moment, l’illusion, la guerre finie, de l’espoir d’une ère nouvelle. L’accès à « un nouvel âge d’or » était chanté par tous. Tous s’accordaient à y voir la période assurée d’une fraternité définitive entre toutes les nations du Monde pour les siècles qui suivraient.

 

Décennies après décennies ces moments d’illusion voyaient inexorablement leur terme et l’avènement de nouveaux cycles de tension et la promesse de nouvelles guerres.

 

L’écoulement du Temps aurait dû apporter une véritable sagesse aux hommes et la méthode pour rompre avec cette spirale sans fin : L’Histoire nous apprend qu’il n’en a rien été !

 

Empires, royautés, républiques, dictatures, régimes fascistes, communistes et, aujourd’hui, démocraties, revendiquées par tous comme le système idéal d’un présent parfait, ont eu, successivement, le but de modeler le Monde en fonctions d’idées définitives d’opportunités d’accomplissement de l’être humain considéré, tour à tour, comme sujet, homme libre, serf, esclave, citoyen, camarade, électeur……

 

Ces systèmes pour idéaux qu’ils soient semblent, à l’évidence, ne pas avoir encore répondu à la question du philosophe : Qui sommes nous ? D’où venons nous ? Où allons nous ? Et ils ont encore moins assuré, définitivement, le bonheur de l’humanité si il doit exister un jour !

 

Aujourd’hui les nations industrialisées et privilégiées du Monde ont fondé leur évolution et celle des autres nations sur un système matérialiste prédateur de production et de consommation. Il nie au hommes leur dimension spirituelle. Il est souvent assorti des valeurs d’une démocratie où les exégètes de la révolution française de 1789 voient l’heureuse pérennité des principes de Liberté, d’Egalité et de Fraternité garantissant les droits fondamentaux des êtres humains.

 

Ce mélange des genres, accompagné des exigences morales de religions destinées à élever spirituellement les hommes, paraît faire preuve, à l’aube du XXI° siècle, de nombreuses limites, de contradictions internes et de carences évidentes.

 

Les sociétés qui ont adopté ce système réducteur de production et de consommation et s’y sont soumises sans réserve et prétendent l’imposer à l’ensemble de l’humanité. Elles sont aujourd’hui fondées, avant tout, sur des logiques d’argent et de spéculation sans limites.

 

Elles ôtent au travail des hommes et aux souffrances de son accomplissement sa dignité. Elles lui refusent la source de l’émergence possible de qualités et de valeurs humaines indispensables pour l’évolution des sociétés et l’espoir d’un devenir meilleur.

 

Elles deviennent le cadre de la mise en œuvre de moyens de conditionnement, de manipulation, d’asservissement, d’abêtissement, d’exploitation, de déshumanisation des populations qui les composent. Elles réduisent les hommes aux seuls termes de producteurs et de consommateurs. Elle les transforment en données abstraites, en chiffres et en statistiques sans âmes. Les valeurs démocratiques qui les fondent sont trop souvent élastiques face aux dictatures qui asservissent encore de larges pans de notre humanité. Quand aux religions elles suscitent parfois, hélas, les gestes terroristes d’un obscurantisme d’intégrismes d’un autre âge.

 

La crise économique et financière qui a secoué les places boursières du Monde et qui est loin d’être terminée a peut être eu quelque chose de salutaire. Elle semble avoir provoqué une période d’autocritique forcée par une conjoncture implacable. Elle implique une réflexion et l’effort d’une synthèse novatrice pour tenter d’élaborer les bases d’un véritable progrès.

 

Il semblerait qu’il soit un fait acquis dans le Monde moderne. Les bourses mondiales, aussi suspectes qu’elles puissent apparaître aux yeux d’un public plus sensible aux scandales qu’aux mécanismes subtils de leurs fonctionnement, ont une utilité peu discutable.

 

Elles sont nées vers le XVI° siècle au moment du déclin des grandes foires qui géraient les termes des échanges des productions du travail humain. C’est le moment où il est apparu aux grands argentiers, aux courtiers, aux banquiers de l’époque la nécessité d’inventer les règles, parfois initiatiques, d’un nouveau système d’échange, en harmonie avec les besoins et les réalités de l’époque.

 

Ces règles généraient, dans le cadre d’une spéculation raisonnable, les moyens financiers nécessaires qui assouplissaient la rugosité et l’aspect parfois conflictuel du fonctionnement des économies des états. Elles donnaient à ceux qui les maîtrisaient l’opportunité de créer une valeur ajoutée au travail des hommes. Ils pouvaient en bénéficier soit pour leur seul profit, soit pour favoriser le développement d’économies nouvelles.

 

Avec le temps ces places boursières et leur règles se sont dotées ou se sont accompagnées de mécanismes subtils. Elles se sont intéressées à tous les champs des activités humaines : les échanges de  monnaies, les prêts d’argent, la possession de biens immobiliers et le commerce permanent des produits du travail des hommes.

 

Elles se sont souvent trouvées prises dans les tempêtes et les crises nées des affrontements des hommes où des aléas des mécanismes de leur environnement. Elle en ont également joué. Elles en ont profité pour créer de nouveaux schémas de spéculation directement liés aux conséquences positives ou négative d’une Histoire de l’Humanité au parcours souvent chaotique.

 

Aujourd’hui, elles ont une dimension et une influence planétaire !

 

Au cœur du seul système matérialiste de production et de consommation sur lequel s’appuie désormais leur fonctionnement, le clash des « subprimes » a été la première étape de la mise en évidence de leurs mécanismes pervers et de l’existence d’une économie virtuelle sans aucun autre fondement que celui de logiques mathématiques abstraites.

 

Les serviteurs de ces bourses modernes et leur exploitants ont fondé un univers de transactions mystérieuses, sans fond, sur ces logiques mathématiques, accessibles à de rares initiés : spéculations hasardeuses et artificielles à terme, surévaluation trompeuse et irréelle de bien immobiliers et mobiliers définis en fonction de futurs supposés radieux, rachats par paliers successifs de crédits et de garanties valorisés arbitrairement, spéculation osées sur les ressources naturelles de notre planète, valorisation spéculative du travail des hommes, des sociétés les employant, de leurs actions, de leurs projets, de leurs productions future, Roll program…., création d’indices économiques transformés en produits financiers alimentant de nouvelles spéculations, transactions aléatoires et hasardeuses sur les changes de l’argent réel en fonction de brevets arbitraires de bonne santé distribués aux économies des états et aux structures et aux sociétés en dépendant…… 

 

Ils ont créé, mathématiquement et artificiellement, la bulle virtuelle d’une économie et d’échanges qui n’ont plus rien à voir avec les réalités fondamentales des activités humaines et des aspirations des hommes.

 

L’action prédatrice de cette économie virtuelle , au sein d’espaces artificiels constitués d’argent ou de marchandises « papier », d’indices, moteurs de spéculations sans fin, n’a désormais qu’une seule morale : La multiplication démoniaque de logiques  d’argent et de leurs perspectives de profits fabuleux au seul avantage d’une minorité sans morale et sans scrupule de quelques nantis initiés exploitant le reste de l’humanité.

 

Au cours du XX° siècle les sociétés privilégiées des nations industrialisées, dans le cadre de l’univers boursier de la finance internationale ont vu l’émergence progressive de cette minorité toute puissante, ce monde d’experts financiers remarquablement intelligents, adroits, percevant toutes les facette de l’exploitation possible des multiples facette de l’économie mondiale. Cette caste d’initiés semble bien décidée à utiliser à son seul profit les bénéfices des mécanismes qu’elle a su créer dans les espaces sociaux où la seule possession de l’argent confère l’image personnelle artificielle de qualités humaines et d’une réussite et d’un accomplissement indéniable.

 

La crise de ce début de XXI° siècle met en évidence les limites de ces systèmes et du pouvoir de leurs serviteurs. Hier adulés aujourd’hui menacés ils n’ont rien fait d’autre que d’obéir aux principes réducteurs d’un monde matérialiste de production et de consommation. L’homme et sa dimension spirituelle n’y existent pas. Le matérialisme le plus bas est la seule règle. Tout devient objet de consommation sans frein. L’ascèse vers un niveau supérieur de civilisation n’y a pas droit de cité.

 

Hier, dans un court moment de l’Histoire des hommes, Moïse descendait du Mont Sinaï. Il ramenait avec lui les tables de la loi. Elles offraient aux Hébreux la révélation d’un Dieu tout puissant, les règles d’une haute spiritualité assurant l’évolution des hommes vers les conceptions et les valeurs morales et religieuses d’une haute civilisation.

 

Outragé par l’érection et l’adoration du veau d’or, retour à une animalité primitive, il les brisait. Il jugeait son peuple indigne de les recevoir.

 

Quelque millénaires plus tard l’Histoire se répète face aux temples modernes que sont les bourses mondiales où les hommes n’adorent plus qu’une seule déité : L’Argent.

 

Il reste que la crise qui secoue régulièrement ces espaces aseptisés et confortables où est servi ce nouveau Moloch menace l’espace de l’économie réelle et de la vie quotidienne des populations de l’ensemble des nations.

 

Il existe cependant l’opportunité d’agir pour le bien de l’espèce ! L’Histoire des hommes doit pouvoir s’accomplir.

 

Les hommes restent toujours face aux mêmes choix. Ils ont toujours la possibilité d’agir pour créer leur propre malheur ou les fondements de leur bonheur futur. Leur assurer le choix de cette possibilité et l’une des responsabilités majeures de ceux qui prétendent au redoutable devoir de les diriger.

 

« L’Histoire de ces cinq derniers siècles, vécue en bien et en mal, a permis à l’espèce humaine de découvrir sa globalité, son unicité et les multiples facettes de sa réalité la richesse de la merveilleuse diversité de l’expression multiforme de son génie. »

 

Dans le contexte médiatique d’une communication mondiale instantanée dont les réseaux sont désormais répandus sur toute la planète terre, vecteur de l’accélération d’une mondialisation devenue réalité incontournable l’Histoire fait appel à l’intelligence des hommes et de leurs dirigeants pour qu’il répondent à un impératif catégorique :

 

« Mettre en œuvre les règles et les principes d’UN HUMANISME PARTENARIAL moderne respectant, pour l’accomplissement du futur de l’humanité, la plus humble manifestation du génie de l’espèce. »

 

Une fois de plus, l’Histoire sur le fond d’une économie virtuelle décadente, en conflits d’intérêts permanents, cadre d’appétits prédateurs sans limite, offre l’opportunité d’une démarche de « civilisation » et l’opportunité de faire abstraction, malgré les contraintes du moment, « d’une bonne guerre ou d’une catastrophe planétaire ».

 

Le sort de l’espèce est en jeu. Il nous appartient de vouloir saisir cette chance. Les peuples, les décideurs politiques et économiques peuvent et doivent agir dans ce sens !

 

L’équipe africaine et européenne de PLANETE XXI INTERNATIONAL s’est engagée dans cette voie.

 

Elle fonde sa démarche sur le bilan positif de ses engagements, de ses actions, de ses investissements personnels au cours de plus d’un quart de siècles d’actions communes entre le NORD et le SUD.

 

Elle a fait le constat de la globalité de l’espèce humaine. Elle a accepté les exigences humanistes du respect incontournable de la plus humble de ses composantes.

 

Elle a fait le choix des principes et des règles de l’HUMANISME PARTENARIAL comme système de relations entre les hommes et comme règle fondamentale de la gestion et du partage harmonieux de l’ensemble des ressources naturelles de son environnement.

 

Elle dit que les temps du partage sont venus sans autre forme de violence !

 

Elle fonde comme principe que chacune des composantes de l’espace humaine à un droit fondamental à sa part de prospérité et à la garantie de sa sécurité sur le sol qui l’a vu naître.

 

Elle a dressé le constat de la crise actuelle. Elle dit que la solution de la crise concerne tout le monde. Elle dit aussi que cette solution n’est pas le seul fait d’un quelconque G4, G7, G11 ou encore G20 autoritaire ou prédateur. Elle est le fait de l’ensemble des nations du Monde, de leurs citoyens et de leurs représentants au sein d’ organisations comme l’ONU dans le cadre des exigences supérieure d’une morale globale fondant une économie réelle au service de tous.

 

C’est, pour cette équipe, la porte étroite qui donnera la chance à l’humanité d’échapper à son autodestruction.

 

 

PLANETE XXI INTERNATIONAL

 

 

 



29/08/2010
0 Poster un commentaire

Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 58 autres membres